La 28e édition du Festival Panafricain du Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO) se tiendra du 25 février au 4 mars 2023 au Burkina Faso sous le thème : « Cinémas d’Afrique et culture de la paix ». Comme les années précédentes, le Bénin sera présent à cette grande messe du 7e art à travers sept (07) productions. Il s’agit dans la catégorie des films d’école de : « Demain » de Joseph Avimadjè, « Le gong a raisonné » de Altidor Gildas Dossou, « L’impression » de Ulrich Houndji, « Moi et Moi » de Razak Adam Bana, « Plus qu’un devoir » de Mouhamed Allabi. Dans la catégorie professionnelle, Evelyne Agli avec « La villa Reynette : de ciment et d’amour » et Kismath Baguiri avec son film intitulé « Isabelle ».
Rappelons que pour cette 28e édition du FESPACO, c’est le Togo qui a été choisi comme Pays Invité. Un choix qui se justifie par les nombreuses actions menées par l’Etat togolais dans le sens de la création d’un cadre propice à la promotion des œuvres cinématographiques et leurs auteurs. Il s’agit du code du cinéma et de l’image animée dont le pays s’est doté en 2021.
Soulignons que cette année, sur 1200 films visionnés, 170 ont été sélectionnés. 15 films sont retenus pour l’Etalon d’or de Yennenga, la plus grande distinction du festival.
FILMS EN COMPETITION POUR L’ETALON D’OR
-La plantation des planteurs, de Dingha Eystein Young (Cameroun)
– Mon père, le diable, d’Ellie Foumb (Cameroun)
– Ashkal, de Youssef Chebbi (Tunisie)
– Under the fig trees, d’Erige Sehiri (Tunisie)
– Sira, d’Appoline Traoré (Burkina)
– Abu Saddam, de Nadine Khan (Égypte)
– Bantú Mama, de Ivan Herrera (République dominicaine)
– Mami Wata, de C. J. « Fiery » Obasi (Nigeria)
– Maputo Nakuzandza, d’Ariadine Zampaulo (Mozambique)
– Our lady of the Chinese Shop, d’Ery Claver (Angola)
– Shimoni, d’Angela Wamaï (Kenya)
– Simin Zetwal/Regarde les étoiles, de David Constantin (ile Maurice)
– The Blue Caftan/Le bleu du Caftan, de Maryam Touzani (Maroc)
– The Last Queen/ La dernière reine, de Damien Ounouri (Algérie)
– Xalé, Les blessures de l’enfance, de Moussa Séné Absa (Sénégal)